† ♥ Charlie Black ♥ †
Nom : Black Prénoms : Charlotte Sasha Nolwenn Age : 16 ans Race : Elfe sylvaine Nom d’âme : Ange de la nuit Camp : mages Element : Air Ordre : Ordre de Merlin Classe II
♥ Physique :
J’en étais sure ! Votre petit interrogatoire cachait bien quelque chose ! J’aurais du m’en doutez que vous voudriez une description physique ! Bon, vu le point où on en est…que voulez vous savoir ? Pourquoi tenez-vous absolument à me connaitre ainsi ? Ne répondez pas, je sais très bien que les humains détiennent tous cette satanée curiosité, cela m’exaspère. Laissez moi retrouver un miroir, je ne peu pas me décrire sans me voir chose qui risquerait de me prendre une éternité….ah, voilà, je me trouve désormais face à mon reflet, et maintenant il ne me reste plus qu’à parler. Devrais-je commencer par la pâleur de ma peau ? En effet je suis pale comme…que dites-vous ? Un cachet d’aspirine ? Mais qu’est-ce que cela ? J’aurais plutôt dis blanche comme un linge, comme un flocon de neige…mais pas comme un…qu’avez-vous dis déjà ? Un cachet d’aspirine ? Mes cheveux sont au contraire d’un noir profond, parsemés de quelques mèches vert-feuille, car en effet je suis une elfe sylvienne. Tenez, en parlant d’elfes, je tiens çà vous apprendre que je possède une paire d’oreilles pointues, je suis comme ce qu’on pourrait appeler le « stéréotype d’elfe » que vous ne rencontriez jusqu’à présent que dans les livres. Parlons de mes yeux maintenant, des yeux en amande de couleur grise, nan, en réalité mes yeux sont bleus clairs mais on n’arrive que très difficilement à déterminer leur véritable couleur. Mes lèvres sont fines et roses, affichant parfois un sourire radieux ou bien une moue désastreuse, cela dépend de mon humeur, susceptible de changer d’une minute à l’autre mais je vous parlerai de mon coté lunatique dans ma description mentale si vous le voulez bien. Suis-je de grande taille ? Cela serait difficile de vous répondre, grande par rapport à quoi ? A qui ? Disons que je ne suis pas minuscule. Suis-je fragile ? On me dit souvent que je suis maigre et frêle mais est-ce la vérité ? Je n’en sais trop rien, mais j’ose avouer que je ne suis pas bien robuste malgré ma souplesse. Mes mains sont à ce qu’on dit « gracieuses » et mes doigts allongés donnent à ce qu’il parait l’impression que je joue d’un instrument de musique depuis une bonne décennie –chose qui n’est pas faux d’ailleurs-. Passons désormais à ma tenue vestimentaire…j’adore les robes, qu’elles soient longues ou courtes mais particulièrement les robes de couleur sombres décorées de dentelle…ce qui fait très elfique, vous ne trouvez pas ? Aaah…existe-t-il des normes pour être une elfe ? Dois-je obligatoirement porter des vêtements recouverts de fleufleurs et de feufeuilles ? Bon, j’avoue parfois me vêtir de robes à fleurs…voilà ? Contents ? Eh ben, il n’en fallait pas beaucoup pour vous satisfaire, voilà que je présente tous les symptômes du stéréotype d’elfe…je n’ai malheureusement plus rien à raconter sur mon physique, passons à autre chose.
♥ Mental :
Vous me questionnez désormais à propos de ma personnalité, vous avez peut être l’intention de découvrir le fond de ma pensée, d’élucider le mystère de mes secrets, ne rêvez pas trop, je ne vous fait pas encore assez confiance, vous ne connaissez de moi que mon nom et mon âge, une petite description de mon aspect extérieur, chose que n’importe qui pourrait découvrir juste en m’apercevant, mon caractère, lui, ne se voit pas à l’œil nu, voilà la raison pour laquelle je prends le temps d’écrire ces quelques lignes. Lisez attentivement ou allez-vous--en. Je suis comme vous l’avez sans doute déjà remarqué, très méfiante, on ne sait jamais qui se trouve face à soi, autant prendre ses distances, rester sur ses gardes, mais pas au point de se retourner à chaque bruit suspect dans une angoisse exagérée, je ne suis pas paranoïaque non plus, n’allons pas jusqu’à me faire dire ce que je n’ai aucunement mentionné. Toutefois, mon coté méfiant et réservé ne me facilite pas la tâche en ce qui concerne le fait de me faire de nouveaux amis, ma grande timidité n’arrange pas les choses. Hormis ces quelques défauts de personnalité je peux affirmer être très sociale et bavarde…mais cela simplement avec ceux à, qui je fais confiance un minimum, eux seuls détiennent la connaissance de mes blagues hilarantes –cela dit de la façon la plus ironique qui soit- et de mes interminable discutions pour le moins futiles –parler pour ne rien dire est mon plus grand passe temps, vous allez très vite vous en rendre compte-. Je suis très sensible, peut être même pleurnicheuse…je ne pleure jamais pour une quelconque blessure mais seulement pour des douleurs morales, une simple remarque, une simple insulte et me voilà transformée en madeleine, une pauvre madeleine…un petit gâteau au beurre qui a peur d’être mangé –ne vous sentez pas obligés de rire-. J’aime énormément la musique et le chant, surtout le chant, cela me permet de noyer ma tristesse dès que j’en éprouve le besoin, je chante, seule dans des coins isolés, je réfléchis, je regarde autour de moi et entre en contact avec la nature, je parle souvent aux arbres, j’ai l’impression qu’ils me comprennent, qu’ils sont prêts à me consoler lorsque je vais mal…nan ! Je ne suis pas folle ! Enfin…Nan sérieusement, je vous assure que les arbres ont une âme mais cela n’est pas le sujet du jour. Vous ais-je parlé de mon côté lunatique tout à l’heure ? Oui, en effet, je change d’humeur comme de chaussettes…pas à ce point bien entendu mais il m’arrive souvent d’être joyeuse puis soudainement je peux devenir triste, malheureuse, déprimée tout cela à cause d’un tout petit événement banal. La plupart du temps je donne l’impression de ne penser à rien, de n’être ni triste ni heureuse, simplement neutre…cela fait bizarre à dire, je l’avoue. Donc voilà ! Vous savez l’essentiel de mon caractère, j’espère que cela vous suffit…je peux rentrer chez moi maintenant…QUOI ??? Mon histoire ? Bon bah, vous lirez la suite dans les quelques lignes en dessous…si vous voulez bien vous donner la peine de patienter quelques temps. Attendre ne vous fera aucun mal.
♥ Histoire :
Mon histoire reste bien flou même pour moi, je ne saurais avec précision vous en faire part mais je compte faire de mon possible pour vous la compter. J’ai comme l’impression d’écrire une autobiographie, cela me fait un peu drôle si je puis dire, pardonnez mon hésitation, je ne sais vraiment pas par quoi commencer. La logique voudrait que je commence par le début, soit ma naissance. Je suis née il y a seize ans de cela, le XIII Siman 1615, vous n’avez pas l’air de bien me suivre, je me trompe ? Devrai-je comprendre que vous utilisez un autre calendrier ? Ah mais que suis-je bête ! J’allais oubliez qui vous êtes, excusez moi. Mais pour revenir à mon « histoire » comme vous dites, euh…où en étais-je ? C’est vraiment pas sérieux tout cela, allez, je recommence. Je suis née le XIII Siman 1615 –comme je viens de vous le dire-, pendant la nuit. Très peu de temps avant ma naissance, mon père, qui se trouvait dans la forêt –normal, c’est un elfe- aperçus dans le ciel une sorte d’oiseaux blanc, de taille imposante. Il aurait juré apercevoir un ange ou je ne sais quelle autre créatures mythiques, mais il ne pouvait évidement pas le prouver. Il se contenta donc de me donner comme Aevia…euh…dois-je vraiment vous le dire à vous, pauvres inconnus ? Bon, je m’y vois obligée mais sachez que le nom d’âme d’un Walroniens ne doit être en aucun cas prononcé sans raison valable, cela risquerait de déclencher je ne sais quel genre de maléfice –ce n’est pas de la superstition-. Donc je parlais de mon Aevia ? Il s’agit d’Ange de la nuit, pourquoi ? A cause de ce gros oiseau que mon père avait pris pour un ange mais entre nous, je pense plutôt qu’il s’agissait d’un gros oiseau… Voilà pour ma naissance, parlons désormais de mon enfance. Je vivais dans la forêt, comme tous les elfes, avec mes deux parents et mon grand frère, Artus. Lui et moi étions des enfants très curieux et ce fut cette curiosité qui nous poussa à nous intéresser au monde des humains étant donné que notre grand-mère maternelle était une humaine. Nous nous mîmes à lires des livres, à étudier, puis ensuite nous nous intéressâmes aux fées, aux centaures et à tout genre de créatures, nous étions avides de connaissance et étions plus instruits que la majorité des enfants de notre âge. Alors que j’avais…environ douze ans, je décidai de lire des livres de magie, je voulais devenir une sorcière, je le voulais plus que tout. Artus aussi avait eut la même idée, nous étions tout les deux bien déterminés à devenir mages. Nous avions besoin de quelqu’un d’expérimenté pour nous enseigner son savoir et c’est en cherchant bien que nous fîmes la rencontre de Hélia. Hélia était une humaine, un mage de l’air, et également une amie de nos parents –c’est bien d’avoir des connaissances dans le domaine-. Nous fûmes ses disciples pendant deux longues années, nous eûmes le temps de nous perfectionner dans la magie. Mon rêve à cette époque était celui de devenir la meilleure sorcière de tous les temps, maîtriser les vents avec aisance….C’était dés lors mon unique objectif, et ça le serait resté si une chose grave ne se serait pas produit, ai-je dis grave ? Non ! Catastrophique ! Dramatique ! Maléfiquement diabolique ! Ignoble ! Intolérable ! Bon…j’arrête là, ça commence à faire beaucoup. Qui aurait cru que Artus, mon cher frère allait faire une rencontre susceptible de changer notre relation à tout jamais. Cela ne m’avait encore jamais traversé l’esprit à cette époque. Etait-ce possible ? J’aurais dès lors répondu…disons…oui, il doit y avoir environ une chance sur dix pour que mon frère me renie, mais je n’aurais pas réellement semblé convaincue car je savais –du moins je pensais- que mon frère tenait à moi plus qu’à tout le reste mais revenons à cette hypothétique chance…cette rencontre inattendue qui change ma vie à tout jamais. Il s’appelait Edward et était un sorcier –lui aussi-, pour être plus précise je dirais même qu’il était un maître dans son domaine…celui des ténèbres…oui chers lecteurs, vous avez devinez, mon cher frère venait de faire la rencontre d’un mage noir. Edward proposa à Artus de le rejoindre et de lui enseigner tout ce qu’il savait, ce qui aurait pour effet de le rendre puissant, plus puissant qu’Hélia elle-même –elle qui était réputée pour être une grande sorcière-. Il accepta sans hésitation…j’avais quatorze ans quand il m’annonça sa trahison, je sentis le ciel s’effondrer sur ma tête. Je ne pouvais m’arrêter de pleurer, je ne pouvais plus manger, ni dormir, Artus ne m’adressait même plus la parole, il avait promis de ne plus me parler et j’en étais affreusement affectée. Il venait de se produire la pire des situations de mon existence. Les jours ont passés, puis les semaines et enfin les mois…cela fait désormais deux ans que je n’ai plus de nouvelle de celui qui fut mon meilleur et mon seul ami, mon grand frère Artus…
♥ Rp :
Rien pour l’instant.
♥ Relations :
Rien non plus.
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